La Guerre Franco-Prussienne de 1870-1871


Pourquoi cette Guerre en 1870 ? – “DENKMAL 50

Huit Gardes Mobiles et Militaires français reposent au cimetière de STANS dans le canton de NIDWALD en Suisse.

Ce 1er épisode de DENKMAL sur la guerre Franco-Prussienne vous emmène au cimetière de Stans et vous explique une anecdote douloureuse en septembre 1798 de l’Histoire de la Suisse avec l’armée révolutionnaire française. 73 ans plus tard la municipalité, la population, l’armée, les religieux et religieuses, les médecins et les infirmières accueillent 359 gardes mobiles, militaires, zouaves. Malheureusement 8 mourront à Stans entre février et avril 1871. Mais pourquoi cette guerre, pour quel motif ?
C’est le but de notre 1er épisode de vous en donner les motifs de manière succincte.
Bon visionnage.

Second épisode “DENKMAL 51” sur la guerre Franco-Prussienne de 1870-1871.

Second épisode de « DENKMAL » sur la guerre Franco-prussienne de 1870-1871. Dans le premier épisode nous avions expliqué brièvement le processus de ralliement des diverses régions et Landes à la Prusse.

La naissance de l’Allemagne douanière, puis militaire et économique. Et les éléments qui ont créé la mise en place du déclenchement de la guerre de 1870 par la France à la Prusse.

Nous étions à Stans dans le canton de Nidwald, puis à Genève au cimetière de Châtelaine. Dans ce deuxième film nous sommes à Fribourg au cimetière Saint-Léonard. Ce canton a accueilli de nombreux internés, nous passerons en revue les lieux de résidence des militaires français, le nombre de malades et les décès en Ville de Fribourg.

En seconde partie, nous irons à Genève, plus précisément dans le quartier de Champel, devant la maison du Général Guillaume-Henri DUFOUR. Il y avait une grande amitié entre Napoléon III et notre général Guillaume-Henri DUFOUR. De cet endroit, nous vous expliquerons le début de la guerre de 1870, l’abdication de Napoléon III, la capitulation de Metz et le début de l’engagement de notre 5ème bataillon de Maine-et-Loire.

3ème épisode “DENKMAL 52” DU CLAIRON AU CANON avec Louis MONTRIEUX des Rairies et l’abbé Eugène-Pierre ROY.

Le périple des Gardes Mobiles du 5ème bataillon de Maine-et-Loire. Depuis la gare d’Angers capitale de l’Anjou, aux environs d’Orléans, puis vers l’Est de la France et enfin en Suisse à Stans dans le canton de Nidwald.

Dans les deux épisodes précédents, nous avions vu ensemble le processus qui a déclenché la guerre entre la France et la Prusse, puis la chute de l’Empereur Napoléon III. Dans ce troisième épisode nous ferons connaissance avec l’abbé Eugène-Pierre ROY narrateur du périple de ce 5ème bataillon de Maine-et-Loire, mais 1er bataillon du 77ème régiment de Garde Mobile. Ainsi que du clairon Garde Mobile Louis Montrieux citoyen des Rairies, briquetier de profession. La première partie de ce film est enregistré devant un monument qui commémore et rend hommage aux internés qui sont décédés en Suisse. Après, Stans, Genève et Fribourg, pour ce troisième épisode, nous serons à Morges dans la canton de Vaud, où un drame terrible s’est déroulé le 2 mars 1871.

4ème épisode “DENKMAL 53” De Santenay à Villersexel & Un commandant de bataillon économe de la vie de ses hommes

Ce 4ème épisode consacré à la guerre Franco-Prussienne de 1870-1871 nous amènera de Santenay en Côte-d’Or à Villersexel en Haute-Saône. Le Garde Mobile Louis Montrieux du village des Rairies de Maine-et-Loire fera la connaissance de Louis Courtin un camarade de Montreuil-sur-Loir, un village éloigné des Rairies de 20 kilomètres. Il est amoureux de Célestine. Il a des malheureusement des problèmes pour lire les lettres de sa dulcinée. Mais c’est la guerre et vous vivrez : Des combats, un château en flamme, une correspondance, une gêne, de la peur, une victoire, et peut-être le début de la défaite. Prenez un moment pour connaître le destin de ces gardes mobiles du 1er bataillon du 77ème régiment de Garde Mobile. Mais du 5ème Bataillon de Maine-et-Loire. Mes héros dorment à Stans et je fais cela en mémoire de ces hommes, oui en quelque sorte un hommage posthume avec la complicité de l’abbé Eugène-Pierre Roy.

5ème épisode “DENKMAL 54” – CHENEBIER un tournant de la guerre mal exploité

Après la victoire à Villersexel et un temps d’arrêt inopportun pour la suite de la guerre, le bataillon de Christian Bernard de la Fosse se dirige en direction de Belfort  Montbéliard. À Chenebier le 5ème bataillon de Maine-et-Loire va de nouveau rencontrer l’ennemi. Découvrez dans cet épisode les villages de Chenebier ainsi que Chagey et un détail de la guerre Franco-Prussienne qui aurait pu être un retournement favorable pour la France.

6ème épisode “DENKMAL 55” – À Bournois le Garde Mobile Émile Goyon est nostalgique

Louis COURTIN n’a pas aimé sa rencontre avec cette bohémienne.

Émile GOYON souffre énormément du froid et est malade. Mais il se réchauffe le cœur en parlant de son Layon.

Et le commandant de la 1ère brigade, le colonel PERRIN aime amuser la galerie. 25 janvier 1871.

La Suisse pointe son nez dans ce 6ème épisode du 5ème bataillon de Maine-et-Loire. Est-ce la planche de salut pour ces militaires épuisés et malades ?

Émile GOYON s’est éteint à Stans dans le canton de Nidwald le 14 mars 1871 à l’âge de 24 ans. Huit militaires français sont décédés en ce début d’année 1871 à Stans. Malgré les bons soins du personnel médical, la maladie a eu raison de ces courageux soldats. Pour la plupart d’entre eux, ils quittaient Angers capital du département de Maine-et-Loire le 16 novembre 1870 renforcer les troupes de La Loire contre la coalition Prussienne. Puis se sont retrouvés vers Montbéliard à combattre au sein de l’Armée de l’EST avec le général Bourbaki. Avec ce 6ème épisode nous ferons plus ample connaissance avec Emile Goyon,

7ème épisode “DENKMAL 56” – Un lieutenant bienveillant février 1871 – L’accueil de la Suisse.

Dans le septième épisode de DENKMAL sur la Guerre Franco-Prussienne de 1870-1871, nous suivons le périple du 5ème bataillon de Mobiles de Maine-et-Loire, qui était subordonné au 18ème corps de l’ARMÉE de l’EST. Son appellation au sein du 77ème régiment de Mobiles était le 1er bataillon.

Par conséquent cette unité de l’Armée de l’Est en retraite a passé la frontière de la Suisse en 1871. Contrairement au gros de l’effectif de l’Armée de l’Est, cette unité n’est pas entrée en Suisse Aux Verrières. Parmi les 87 847 militaires qui ont trouvé refuge en Suisse, 8 hommes sont morts à Stans dans le canton de Nidwald. Environ 1 700 autres sont morts sur les divers sites de l’internement.

Au travers de ces épisodes, nous apprenons à connaître ces malheureux et à les côtoyer. Du 26 janvier au 2 février, nous allons suivre et essayer de comprendre les souffrances de ces mobiles angevins par cet hiver rigoureux et très enneigé de début 1871.

Avec cet épisode, nous partons de la Franche-Comté, puis nous passons par le département du Doubs, puis nous allons dans le Canton de Vaud en Suisse et pour finir, nous serons dans le canton de Neuchâtel.

9ème épisode “DENKMAL 58” L’accident du 22 mars 1871 à Colombier.

En Suisse, depuis deux jours, une soixantaine de convois ferroviaires ramènent plus de 60 000 soldats français vers les frontières. D’autres arrivent par bateaux. Ils vont pouvoir rentrer en France.
Le 22 mars, à huit heures du soir, un millier de soldats français embarqués à Soleure dans un train de dix-sept wagons arrive à hauteur de Colombier. Une erreur d’aiguillage provoque une collision avec un train de marchandises chargé de houille, stationné sur une voie de garage. Vingt-deux hommes sont tués et soixante-douze blessés dans l’accident. Leur wagon a été littéralement broyé par le train de roue d’un autre wagon

“DENKMAL 59” – CLUSE-ET-MIJOUX – Un combat héroïque – Cérémonie du 1er février 2023

À La Cluse-et-Mijoux, dans le département du Doubs un monument commémore la “bataille de La Cluse” sur ce verrou stratégique où, soutenus par les canons du château de Joux et du Fort Mahler, une fraction de l’armée de l’EST a livré victorieusement combat pour stopper l’avance Prussienne et permettre au reste des troupes de franchir la frontière. Soit 87 500 hommes.
Le mercredi 1er février 2023 a eu lieu une cérémonie sous la houlette du maire de Cluse-et-Mijoux Yves Louvrier et quelques personnes de la municipalité , ainsi que des fervents patriotes. Avec la participation du souvenir Français, ainsi que Gérard Tissot-Robbe, co-auteur de l’ouvrage « Les Bourbakis, une page d’histoire Franco-Suisse ».
Gerbes de fleurs, sonnerie aux morts et marseillaise pour se souvenir du sacrifice de ces braves du 1er février 1871 et des quelques jours qui ont suivi.